: Envoyé par Alex le 09/02/2003 à 16:35
L'astrologue de Bruges: Envoyé par Naiaphykit le 27/03/2003 à 16:03
Bonjour à tous!
Je vous contacte car je ne sais pas si vous savez que le titre de l'album n°20, "L'Astrologue de Bruges", n'était pas celui prévu à la base. En effet, lorsque j'ai acheté "L'Or du Rhin" (en Belgique, où il venait juste de sortir), on pouvait lire sur la couverture de fin "En préparation: l'Alchimiste de Bruges").
Vis à vis de l'histoire, ce titre collait très bien (sauf qu'il aurait fallu mettre Maître Balthazar derrière Yoko en couverture, et non Zacharius).
De plus, les démélés de "Zaccharius" avec le légat du Pape relève plus de l'Astronomie que de l'Astrologie (religion?).
Il n'y a que le créateur (...) qui puisse le dire.
Dernière petite chose: quand doit sortir le prochain album?
Une petite contribution: Envoyé par Naiaphykit le 27/03/2003 à 17:21
Je n'arrive pas à ouvrir le lien "contributeur".
J'ai trouvé des infos sur la dernière voiture de Yoko, que voici:
Né en janvier 1990 en même temps que la dernière génération de Sunny dont elle dérive (berline moyenne remplacée par l’Almera début 1996), la 100 NX est le coupé Nissan le plus ancien. S’il a retenu notre attention, malgré son esthétique dépassée, c’est en raison de ses bonnes qualités dynamiques et de sa grande fiabilité.
Le niveau d’équipement de cette unique version SLX est correct pour cette génération de coupé malgré l’instrumentation limitée, les airbags frontaux ou la climatisation indisponibles. La présentation intérieure n’a pas trop vieilli et l’ergonomie du poste de conduite mérite des éloges. L’accès à l’arrière est difficile et la banquette convient uniquement aux jeunes enfants (de l'âge de Rosée). L’habitabilité déçoit pour une auto de plus de 4,10 mètres de long. Le coffre propose toutefois un volume décent. La qualité de la finition a permis de passer les années sans dommage. Confort de suspensions dans la moyenne.
La tenue de route allie une certaine agilité et la sécurité dans la mesure où les dérives des 4 roues en conduite sportive interviennent progressivement. Ce comportement sûr et équilibré perd un peu de sa superbe au freinage où les risques de blocage sont plus fréquents que sur d’autres coupés dépourvus de l’ABS en raison notamment de pneumatiques de dimensions modestes. Ici encore, on déplore le choix de tambours à l’arrière, contrairement à la 2.0 qui gagne l’antiblocage.
A côté de cette bruyante 2 litres aux performances ébouriffantes (moteur superbement secondé par la boîte) qui joue parfaitement le rôle de GTi, la plus paisible 1.6 de 102 ch commercialisée courant 93 offre déjà une belle vitalité en raison d’un poids inférieur à 1,1 tonne. Cette motorisation multisoupapes s’avère plutôt brillante, pas trop vorace en sans plomb, mais un peu plus sonore que les autres rassemblées ici. Les sources de bruits proviennent également du vent, surtout pour les versions équipées du toit escamotable.
La robustesse constitue une des qualités majeures du modèle, à l’instar de la MX-3. Nous ne disposions pas toutefois de données suffisantes pour nous prononcer sur les organes vitaux au-delà de 130 000 kilomètres. Le seul détail qui cloche à propos de la finition concerne les versions équipées du T-Bar (deux petits panneaux de toit amovibles et translucides qui, une fois rangés dans le coffre, transforment la NX en coupé Targa, à défaut de cabriolet). Il souffre d’un manque d’étanchéité et environ un tiers des propriétaires a subi des infiltrations d’eau. Cote raisonnable, mais modèle assez peu répandu après 1994, année où débarqua une certaine Tigra…
Caractéristiques
100 NX 1.6 à moteur 1597 cm3, 102 ch à 6000 tr/mn ; performances : 190 km/h, 400 m DA en 17,2 secondes ; degré d’équipement unique SLX, direction à assistance constante. Consommation selon anciennes normes (90/120/urbaine) en litres aux 100 km : 5,4/7,2/8,6 ; moyenne réelle estimée : 8,7 l/100 km.
La Nissan 100 NX 1.6 en bref : coupé 3 portes, 4 places ; transmission aux roues avant, 5 vitesses ; longueur : 4,13 m ; coffre de 330 litres. Commercialisée début 1991 en 1.6 95 ch jusqu’à fin 1992, remplacée un temps par 1.6 catalysée 90 ch (à éviter), puis par 1.6 102 ch jusqu’en octobre 1996. Version 2.0 GTi 143 ch commercialisée de 1991 à septembre 1994.
Qualités :
plaisir de conduite (comportement vif, bonne boîte), ergonomie bien étudiée, coffre. Défauts :
instrumentation pauvre, moteur bruyant, habitabilité et accès à l’arrière, freinage juste et sujet au blocage (tambours AR).
Apparemment, la photo n'est pas passée...
A+
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